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Deux (2) ans de gouvernance du Président Mohamed Bazoum: Le pays commence sa mue dans de nombreux secteurs.

Lorsque le Président de la République Mohamed Bazoum prêtait serment le 02 avril 2021, le Niger faisait face à de nombreux défis qui paraissaient insurmontables, tant ils étaient nombreux et prioritaires. Insécurité liée au terrorisme, système éducatif défaillant, environnement économique mondial et sous régional précaire, insécurité alimentaire, gestion des flux de réfugiés et de catastrophes naturelles, le chapelet de défis à relever était long.

Le Président Bazoum nouvellement élu pour conduire les destinées du pays avait bien connaissance de toutes ces attentes pour avoir parcouru le pays de Téra à Baroua et du Djado à Gaya. Pourtant dans son discours d’investiture et même dans le programme de Renaissance Act 3, il promettait une embellie pour le Pays. Beaucoup de concitoyens étaient restés sceptiques au départ et à juste titre compte des défis multiformes qui se posaient à notre pays. Mais il a fallu deux petites années pour que le pays commence sa mue dans de nombreux secteurs. Tel un conquérant, le président Bazoum s’est lancé sur tous les fronts en même temps. Il avait l’avantage d’avoir la maitrise parfaite des maux dont souffre son pays mais il avait surtout sa recette en main ; même si elle paraissait irréalisable pour nombre de nigériens. Ainsi il s’est mis à la tâche avec détermination. Aujourd’hui on tire fièrement le bilan élogieux de ses deux premières années à la tête du Pays. Disons que les lignes ont bougé dans tous les secteurs de la vie socioéconomique du pays. La question cruciale de la sécurité est maitrisée dans une certaine mesure. Le chantier de la lutte contre la corruption est devenu une réalité. Le Niger est devenu en si peu de temps un centre de convergence de la communauté internationale ; en témoigne les grandes rencontres stratégiques qui se tiennent à Niamey. Le Niger est devenu crédible aux yeux de ses partenaires. La dernière table ronde de paris pour le financement du PDES l’a démontré à suffisance. Le secteur de l’éducation s’améliore en dépit du contexte difficile. Le front social s’apaise progressivement. Le dialogue politique a repris pour de bon. Le chef de file de l’opposition a été érigé en Institution. Les libertés sont garanties. Le tout est corroboré par un taux de croissance économique de 11,5% et un pays intégralement sous le contrôle des autorités publiques contrairement à nos voisins qui ont perdu une bonne partie de leur territoire.

Le Niger apparaît aujourd’hui comme un modèle de réussite tant en matière de lutte contre le terrorisme qu’en matière de progrès économique et social.

Yahaya Garba

Dernière modification le lundi, 17 avril 2023 20:40

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