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Victoire du Président Bassirou Diomaye Faye : Le PASTEF force l’admiration chez la jeunesse africaine

Depuis l’élection du Secrétaire Général et candidat des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la tête de son pays, sa formation politique continue de faire rêver les jeunes à travers le continent et plus précisément  en Afrique francophone.

Du Sénégal en passant par la Guinée, le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Tchad la Mauritanie et le Cameroun pour ne citer que ceux-là, le duel Sonko/Bassirou et leur formation politique PASTEF continuent d’impressionner la jeunesse au point où l’idée de création des formations politiques inspirées de cette jeune structure politique qui a le vent en poupe au Sénégal émerge dans les esprits et commence à faire son bonhomme de chemin.

En Mauritanie par exemple, le mouvement se poursuit avec la création du PAMTEF (Patriotes Africains de Mauritanie pour le travail, l’Ethique et la Fraternité) par le député Khally Mamadou Diallo, appelant déjà à se préparer pour l’élection présidentielle prévue le 29 juin prochain.

Au Cameroun, c’est le député Narcisse Nganchop qui annonce  la création du PACTEF (Patriotes Africains du Cameroun pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité), s’inspirant du parti politique sénégalais  PASTEF (Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité) d’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Diakhar Faye.

Chez nous aussi au Niger, les jeunes continuent d’apprécier cette jeune formation politique animée par une nouvelle génération des acteurs  qui en une décennie ont pu imposer leur formation politique dans la société sénégalaise qui pourtant regorge plus d’une centaine de partis politiques. Le PASTEF a aujourd’hui gagné les cœurs des sénégalais au point où le parti a enregistré  une victoire éclatante lors de la présidentielle du 24 mars dernier.

Il est très facile de lire sur les réseaux sociaux et autres plateformes des jeunes qui s’interrogent si le Niger pourrait aussi avoir ses Sonko et Bassirou pour les prochaines compétitions électorales.

Ibrahim Moussa   

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