La marche de la transition actuelle n’a pas fini de surprendre et de désenfler les marchands d’illusions de tout acabit qui ont pensé que les membres du CNSP étaient aussi godiches pour renverser le PNDS et leur remettre gracieusement le pouvoir qu’il n’ont pas réussi à obtenir par la voie des urnes. Aux premières loges de cette catégorie de nigériens qui rêvent debout depuis le 26 juillet 2023 de récupérer les fruits de l’avènement du CNSP au pouvoir se trouvent sans surprise les militants du Moden FA Lumana et leur leader Monsieur Hama Amadou qui courent désespérément derrière le pouvoir ces dernières années.
La dernière épreuve qu’il a essuyée est certainement le limogeage brutal du ministre du pétrole, M. Barké Bako Mahaman Moustapha le weekend end dernier, alors que ce dernier était en déplacement, du côté de Cotonou, où réside justement le grand timonier de la politique globale de la maison mère, depuis l’arrivée du CNSP au pouvoir.
Avec le débarquement de ce dernier de son prestigieux poste de ministre du pétrole au moment où cette denrée est devenue l’enjeu principal pour booster notre économie, avec l’augmentation de la production journalière oscillant autour de 90.000 barils par jour, il faut avouer que c’est le ciel qui tombe sur la tête des militants de Lumana FA, car ce Monsieur jouait un rôle déterminant dans les manœuvres de Hama Amadou. Selon certaines informations en dehors du paquet des postes de responsabilités qu’il a pu rafler pour son parti aux niveaux des trois portefeuilles qui étaient sous son magistère avant le réaménagement, à savoir le Pétrole, l’Energie et les Mines, le Sieur Barké est le principal pourvoyeur de ressources pour le fonctionnement des différents comités, brigades et autres fronts subversifs crées pour la circonstance par les laboussanistes.
Autant dire que le Général Tiani a frappé dans la fourmilière de Lumana, qui commence certainement à s’interroger sur l’avenir et les réelles chances de leurs intrigues ourdies de jour comme de nuit.
Il y’a quelques jours, les laboussanistes se réjouissaient de l’annulation des nominations de certains secrétaires généraux des commune rurales suite à leur publication sur les réseaux sociaux, sous prétexte qu’ils des militants du PNDS. Ils continuent de réclamer à tue-tête l’arrestation de l’ancien président de la République Mahamadou Issoufou.
Même si l’éviction de ministre Barké du gouvernement, serait liée à des suspicions qui reposent sur des pratiques mafieuses autour de sommes colossales d’argent selon les premières informations, il n’en demeure que le CNSP envoie par cet acte un message clair aux laboussanistes et consorts. « La transition n’est pas à vendre ». Le Général Tiani l’a du reste dit et répété à l’occasion de toutes ses sorties, que le CNSP va se consacrer exclusivement aux intérêts de la nation et de son peuple indistinctement des colorations politiques ou de toute considération partisane.
Ainsi donc les labounassanistes se trompent de croire que le CNSP tombera dans leur jeu fondé exclusivement sur des calculs politiques.
Adoum Boulkassoum
La marche de la transition actuelle n’a pas fini de surprendre et de désenfler les marchands d’illusions de tout acabit qui ont pensé que les membres du CNSP étaient aussi godiches pour renverser le PNDS et leur remettre gracieusement le pouvoir qu’il n’ont pas réussi à obtenir par la voie des urnes. Aux premières loges de cette catégorie de nigériens qui rêvent debout depuis le 26 juillet 2023 de récupérer les fruits de l’avènement du CNSP au pouvoir se trouvent sans surprise les militants du Moden FA Lumana et leur leader Monsieur Hama Amadou qui courent désespérément derrière le pouvoir ces dernières années.
La dernière épreuve qu’il a essuyée est certainement le limogeage brutal du ministre du pétrole, M. Barké Bako Mahaman Moustapha le weekend end dernier, alors que ce dernier était en déplacement, du côté de Cotonou, où réside justement le grand timonier de la politique globale de la maison mère, depuis l’arrivée du CNSP au pouvoir.
Avec le débarquement de ce dernier de son prestigieux poste de ministre du pétrole au moment où cette denrée est devenue l’enjeu principal pour booster notre économie, avec l’augmentation de la production journalière oscillant autour de 90.000 barils par jour, il faut avouer que c’est le ciel qui tombe sur la tête des militants de Lumana FA, car ce Monsieur jouait un rôle déterminant dans les manœuvres de Hama Amadou. Selon certaines informations en dehors du paquet des postes de responsabilités qu’il a pu rafler pour son parti aux niveaux des trois portefeuilles qui étaient sous son magistère avant le réaménagement, à savoir le Pétrole, l’Energie et les Mines, le Sieur Barké est le principal pourvoyeur de ressources pour le fonctionnement des différents comités, brigades et autres fronts subversifs crées pour la circonstance par les laboussanistes.
Autant dire que le Général Tiani a frappé dans la fourmilière de Lumana, qui commence certainement à s’interroger sur l’avenir et les réelles chances de leurs intrigues ourdies de jour comme de nuit.
Il y’a quelques jours, les laboussanistes se réjouissaient de l’annulation des nominations de certains secrétaires généraux des commune rurales suite à leur publication sur les réseaux sociaux, sous prétexte qu’ils des militants du PNDS. Ils continuent de réclamer à tue-tête l’arrestation de l’ancien président de la République Mahamadou Issoufou.
Même si l’éviction de ministre Barké du gouvernement, serait liée à des suspicions qui reposent sur des pratiques mafieuses autour de sommes colossales d’argent selon les premières informations, il n’en demeure que le CNSP envoie par cet acte un message clair aux laboussanistes et consorts. « La transition n’est pas à vendre ». Le Général Tiani l’a du reste dit et répété à l’occasion de toutes ses sorties, que le CNSP va se consacrer exclusivement aux intérêts de la nation et de son peuple indistinctement des colorations politiques ou de toute considération partisane.
Ainsi donc les labounassanistes se trompent de croire que le CNSP tombera dans leur jeu fondé exclusivement sur des calculs politiques.
Adoum Boulkassoumv