C’est par arrêté N°0643 en date du mardi 12 juillet 2022 que le Ministre de l’Education Nationale, Pr Ibrahim Natatou a acté la création d’un lycée d’excellence à Tessaoua (Région de Maradi). Ce Lycée National d’Enseignement Général dénommé «Lycée d’excellence», sera opérationnel dès la prochaine rentrée scolaire 2022-2023. Ceci entend que les infrastructures plus précisément les salles de classes sont d’ores et déjà disponibles et voire même le corps enseignant.
Ce centre d’excellence, le deuxième du genre dans notre pays, après le lycée d’excellence de Niamey, est un engagement du Président de la République Mohamed Bazoum qui fait de l’éducation son cheval de bataille.
L’on se rappelle que le 16 mars 2022, à l’occasion de sa visite à l’Ecole Normale d’Instituteurs de Niamey, le Président Mohamed Bazoum a fait l’annonce de la création d’un lycée d’excellence dans la commune urbaine de Tessaoua dans la région de Maradi. C’est désormais promesse tenue, et les excellents élèves détenteurs du diplôme de BEPC, session 2022 inaugureront la première promotion de ce lycée qui vient combler l’insuffisance d’établissement spécialisés dans la formation des craques que renferment plusieurs Collèges d’Enseignement Général.
Avec la création des internats des jeunes filles et aujourd’hui, le lycée d’excellence de Tessaoua, le Président de la République Mohamed Bazoum multiplie les actes pour le rayonnement de l’école nigérienne.
Depuis son arrivée au pouvoir en avril 2021, le constat qui se dégage est que le système éducatif nigérien est en train de renaitre petit à petit.
Si aujourd’hui, les choses commencent à rentrer dans l’ordre, c’est justement grâce à la détermination du Président de la République Mohamed Bazoum qui ne ménage ni son temps encore moins les moyens pour redorer le blason de l’école nigérienne.
Pour rappel, dès le lendemain de sa prise de fonction, le Chef de l’Etat a organisé plusieurs rencontres avec les acteurs de l’école. Et aujourd’hui, les actions posées par le Président de la République Mohamed Bazoum commencent à donner leurs fruits.
L’école nigérienne renoue avec les années scolaires sans perturbation aucune, les programmes commencent à être exécutés à des taux beaucoup plus élevés et les examens se tiennent dans le temps. Finit les reports prolongés des dates des examens et des rentrés des classes.
Le seul problème qui prendra du temps avant d’être régler, est celui de la baisse de niveau. Là aussi, la Renaissance acte 3 est en train d’envisager les voies à suivre pour rehausser le niveau des enseignants surtout ceux directement entrés dans les écoles normales qui suivront désormais une formation de deux ans, qui à leur rehausseront celui des élèves.
Ibrahim Moussa