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La Rédaction

La Rédaction

L’Observatoire Nigérien Indépendant des Médias pour l’Ethique et la Déontologie (ONIMED), en collaboration avec son partenaire régional, la Fondation des Médias pour l'Afrique de l'Ouest (MFWA) organise le mardi 10 août 2021 un forum public sur le thème: L'accès à l'information pour une Gouvernance Transparente et Responsable au Niger.

Le forum public sera organisé à la Maison de la Presse et réunira les principales parties prenantes et acteurs clés des ministères, départements, et institutions gouvernementales, ainsi que des représentants des organisations de la société civile, des universitaires, des associations de médias, des journalistes, et le grand public.

Les participants délibéreront sur l’ordonnance n°2011-22 du 23 février 2011 portant charte d’accès à l’information publique et aux documents administratifs au Niger, les défis rencontrés dans sa mise en œuvre ainsi que son rôle dans le renforcement d'une gouvernance transparente et responsable au Niger. Les acteurs clés présent lors du forum feront des recommandations qui seront documentées et partagées avec les institutions concernées afin que des mesures soient mises en œuvre pour une meilleur application de la charte au Niger. Le forum offrira également une platform pour le lancement du Manuel pour les journalistes sur l'accès à l'information au Niger. Le manuel représente un guide conçu pour aider les journalistes du pays à mieux comprendre la charte et fournit 10 astuces pratiques dont les journalistes peuvent se servir pour accéder aux informations nécessaires afin d’avancer dans leur travail.

L'accès à l'information est universellement reconnu comme un droit humain fondamental. En Afrique de l'Ouest, 11 pays ont jusqu'à présent adopté des lois sur l'accès à l'information. En 2011, le Niger a adopté la Charte sur l'accès à l'information publique et aux documents administratifs afin de permettre aux citoyens d'accéder aux informations publiques détenues par le gouvernement. Depuis l’adoption de la charte cependant, le public, en particulier, les journalistes ont eu du mal à l’utiliser, principalement en raison d’une faible maitrise, et compréhension de ses contours ainsi que des structures institutionnelles existantes pour sa mise en œuvre.

Le forum a donc pour objectif de contribuer aux efforts de sensibilisation du public sur la charte d’accès à l’information publique et aux documents administratifs, ainsi que sa pertinence pour le renforcement de la gouvernance au Niger.

Le forum public et le lancement du Manuel pour les journalistes font partie des activités prévues dans la cadre du projet de la MFWA intitulé « Promouvoir la Liberté de la Presse, le Journalisme Indépendant et la Gouvernance Démocratique en Afrique de l'Ouest ». Le projet est mis en œuvre avec l’appui financier de l'Open Society Initiative for West Africa (OSIWA).

Atelier Résidentiel de Développent de Productions Journalistiques au Niger

L’Observatoire Nigérien Indépendant des Médias pour l’Ethique et la Déontologie (ONIMED), en collaboration avec son partenaire régional, la Fondation des Médias pour l'Afrique de l'Ouest (MFWA) organise les 11 et 12 août 2021 un Atelier Résidentiel de Développent de Productions Journalistiques au Niger.

Les journalistes participant à l’atelier proviennent de différents types de presse au Niger (presse écrite, radio, télévision, et sites d'information en ligne). Lors de l’atelier, les participants porteront des réflexions pertinentes sur leurs projets journalistiques et discuteront de différentes approches considérées efficaces pour la production de leurs articles/reportages. L’atelier offrira également une opportunité d'apprentissage entre pairs, de partage d'expériences et de mentorat.

L’atelier comprendra des présentations interactives de professionnels et d’experts de médias, des travaux en groupe et des séances pratiques sur le développement de projet d’articles/reportages journalistiques. Une partie importante de l’atelier portera sur comment les participants peuvent utiliser l’ordonnance n°2011-22 du 23 février 2011 portant charte d’accès à l’information publique et aux documents administratifs au Niger pour accéder aux informations afin d’avancer dans le développement de leur projet.

L’Atelier Résidentiel de Développent de Productions Journalistiques au Niger est mis en œuvre avec l’appui financier de l'Open Society Initiative for West Africa (OSIWA).

A l'occasion des épreuves du baccalauréat session 2021 qui débuteront le mercredi 4 Août 2021 au Niger, le ministre de l'enseignement Supérieur et de la recherche, Professeur Mamoudou DJIBO, PhD, a livré un message à l'endroit des tous les acteurs : "j'en appelle au sens de responsabilité de tous ceux qui, à un titre ou à un autre, interviennent dans le processus. Le respect scrupuleux des textes régissant le baccalauréat nigérien est une condition sine qua non de la crédibilité de notre diplôme" a déclaré le ministre Mamoudou DJIBO, PhD.

Cette année, ils sont au total 82134 candidats, dont 37,39% de filles, pour les différentes séries et spécialités du Baccalauréat secondaire, technique et professionnel. Ces candidats sont répartis dans 197 centres sur l'ensemble du territoire National.

A la veille de cet important examen qui ouvre les portes des études supérieures, le ministre Mamoudou DJIBO, PhD, a rassuré les candidats, les parents,  bref, tous les différents acteurs que :" le gouvernement a pris toutes les dispositions nécessaires pour que l'examen se déroule dans les meilleures conditions possibles". Il a profité pour demander les candidats de compter sur leurs propres efforts, aux enseignants et aux membres des jury, de bien collaborer pour organiser des examens propres, des voeux chers du président de la République Mohamed Bazoum et du premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou. Pour finir, le ministre de l'enseignement Supérieur et de la recherche a souhaité bonne chance à tous les candidats.

Nigériennes, Nigériens,

Mes Chers compatriotes,

C’est à moi qu’il revient aujourd’hui l’honneur de m’adresser à vous, à l’occasion de la commémoration du 61ème anniversaire de l’accession de notre pays à son indépendance, sacrifiant en cela à un rituel républicain qui nous est très cher. Je le fais avec d’autant plus d’émotion que bien des mes prédécesseurs devant ce prestigieux micro ne sont plus de ce monde. Je pense à eux tous, en implorant la bénédiction de Dieu en leur faveur.

Permettez-moi aussi de rendre un hommage appuyé au Président Issoufou Mahamadou auquel j’ai succédé. Grâce à lui notre pays vient de réaliser sa première alternance par laquelle une passation de pouvoir pacifique et démocratique a eu lieu à la tête de l’Etat conférant ainsi une distinction toute particulière à notre pays eu égard au contexte régional marqué surtout par des pratiques d’exercice de pouvoir à durée illimitée. Grâce à l’élégance de son geste traduisant son profond attachement aux intérêts de son pays ainsi que sa foi dans les valeurs de la démocratie, notre pays jouit d’une excellente image internationale nous ouvrant des fenêtres d’opportunités qu’il nous revient d’exploiter avec le sens des responsabilités requis.

Mes chers compatriotes,

en sollicitant votre confiance à l’occasion d’une campagne électorale à laquelle j’avais, vous vous souvenez, consacré beaucoup de temps, ce qui m’avait permis de visiter même ceux d’entre vous qui vivent dans les localités les plus éloignées de notre vaste pays, j’ai eu l’occasion de bien connaître vos besoins et vos aspirations. Depuis 4 mois que je suis à la tête de l’Etat je me suis efforcé de traduire en actes ce que je pensais avoir compris au plus intime de votre être.

Dans le discours que j’ai prononcé au cours de la cérémonie de mon investiture j’ai fait un état des lieux des défis auxquels est confronté notre pays et j’ai mis un accent particulier sur deux d’entre eux : la gouvernance et l’éducation. Mes 4 mois à la tête de l’Etat m’ont conforté dans mon option d’accorder une totale priorité à ces 2 questions. À côté de celles-ci j’ai aussi souligné l’urgence du traitement du défi sécuritaire.

Sur ce dernier point, les organisations terroristes opérant pour l’essentiel à partir de bases situées hors de notre territoire ne nous ont donné aucun répit. Nos forces de défense et de sécurité ont été sollicitées jour et nuit et ce sur tous les fronts. Partout, elles se sont comportées avec dignité et ont fait preuve de compétence remarquable. Je voudrais leur rendre un vibrant hommage. Je pense en particulier aux batailles héroïques qu’elles ont livrées à Diffa, à Bosso et à Tchomabangou. La compétence qu’elles ont accumulée à force d’âpres épreuves nous a permis de créer un rapport de force favorable au point où les hordes criminelles embrigadées dans l’EIGS sont désormais réduites à une seule recette consistant dans les tueries en masse de populations civiles paisibles et innocentes, comme ce fut le cas à Bakorat, Intazayène, Tchomabangou, Zaroumdarey, Deye Koukou, Wiyé, Zibane et j’en passe.

C’est fort de ce rapport de force que nous avons pu ramener dans leurs villages respectifs toutes les populations déplacées internes de l’Anzourou, de Fantio et des environs de Banibangou dans la région de Tillaberi.

À Diffa, nous avons mis au point un plan de retour des déplacés de tous les 300 villages désaffectés. Nous avons d’ores déjà mis en exécution la première phase de ce plan ayant concerné 19 villages dont le village emblématique de Baroua par lequel l’opération avait commencé. Je suis très heureux de savoir que ces populations ont réinvesti leurs champs, celles de Baroua s’apprêtant même à reprendre la pêche.

Mes Chers compatriotes,

La promotion de la bonne gouvernance est l’un des domaines où j’avais annoncé des actions décisives lors de mon investiture.

La bonne gouvernance suppose la bonne marche des institutions républicaines et la préservation des libertés et des droits fondamentaux. Je note à cet égard que l’Assemblée Nationale vient de clôturer sa première session ordinaire. Elle a pleinement exercé son droit de contrôle de l’action gouvernementale. Elle a reçu le Premier Ministre pour la présentation de sa Déclaration de Politique Générale, qu’elle a adoptée. Elle a procédé à l’organisation du débat d’orientation budgétaire dans le cadre de la préparation du budget de l’année 2022.

C’est dans le cadre du renforcement de la bonne gouvernance que j’ai décidé d’établir un dialogue social constructif avec les organisations syndicales, les associations de la société civile et les acteurs des secteurs économiques pour faire le point de nos préoccupations communes sur la marche de notre pays.

J’engage les membres du Gouvernement et tous les responsables à poursuivre cet exemple d’ouverture et de dialogue.

Dans ce registre de la gouvernance je voudrais aujourd’hui encore réitérer mon engagement à renforcer la lutte contre la corruption et la concussion des agents de l’Etat, le détournement des deniers publics, les pratiques de sur facturation dans l’exécution des marchés publics, les fraudes et les injustices dans l’organisation des examens et concours ou dans les recrutements des agents de l’Etat et des sociétés publiques. La pérennisation de l’Etat de droit passe en effet nécessairement par le respect par l’Etat incarné en l’occurrence par le gouvernement des règles qu’il a édictées.

Mes Chers compatriotes,

Comme je l’ai affirmé dans mon discours d’investiture, l’éducation est notre plus grand défi. Ses faiblesses paralysent nos possibilités de constituer un véritable capital humain, capable de prendre en charge les défis de développement de notre pays.

Notre système éducatif a besoin d’être repensé, et il le sera. Ce sera la traduction du contrat qui me lie au peuple nigérien. D’ores et déjà, et conformément à mon engagement de suivre personnellement les réformes engagées dans ce secteur, j’ai eu à consulter les partenaires de l’éducation sur les principaux axes de ces réformes afin de les sensibiliser et de requérir leurs opinions et leur soutien.

A l’issue de ces concertations, des actions ont immédiatement été engagées par le gouvernement en vue de la mise au point d’une grande politique de réforme de notre système éducatif.

Cette réforme vise surtout à repenser notre politique de formation des enseignants et des encadreurs en relevant d’une part le niveau à partir duquel seront orientés les élèves destinés à l’enseignement et à mettre d’autre part une rigueur toute particulière dans cette formation.

Des mesures incitatives spéciales seront mises en œuvre pour favoriser le recrutement des professeurs dans les disciplines scientifiques dont nos établissements manquent cruellement, ce qui explique en grande partie les contreperformances de nos élèves.

Des internats pour jeunes filles seront construits en vue de garder les filles le plus longtemps possible dans le système éducatif et leur donner de réelles chances de promotion sociale.

Notre système de formation professionnelle sera rationalisé pour lui permettre de produire les cadres techniques si indispensables pour notre économie.

Concernant l’enseignement supérieur je compte entre autres actions faire en sorte que d’ici la fin de l’année 2023 nous puissions satisfaire tous les besoins de nos universités en enseignants-chercheurs.

Mes Chers compatriotes,

Cette année encore, l’anniversaire de notre accession à l’indépendance se déroule dans un contexte de préoccupation sanitaire dû à la pandémie de la covid-19, avec notamment l’apparition du très dangereux variant delta. Je voudrais vous inviter à vous faire vacciner et à respecter les consignes sanitaires pour éviter cette maladie.

La commémoration de l’indépendance s’accompagne traditionnellement des actions de plantation d’arbres et de reboisement. Cette année, l’opération a pour thème : « valorisons le moringa pour améliorer l’économie locale ». La production, la transformation, la consommation et la commercialisation des produits moringa par les communautés locales et les organisations de producteurs est quelque chose que nous encourageons du fait de son impact dans l’amélioration de l’offre alimentaire dans notre pays.

Je voudrais enfin, mes Chers compatriotes, souhaiter un hivernage fécond pour notre pays et une bonne campagne agricole pour nos vaillants agriculteurs, qui contribuent plus que nul autre acteur au développement économique et social de notre pays.

A toutes et à tous, je tiens à vous réaffirmer ma foi et ma détermination pour la réalisation d’un Niger stable et prospère, résolument engagé dans la satisfaction des aspirations profondes de notre peuple.

Pour terminer je voudrais exprimer ma compassion au famille et aux frères d’armes de 19 de nos vaillants soldats, qui sont tombés hier sur le champ d’honneur, dans le département de Torodi, suite à l’explosion d’une mine posée par les terroristes.

Vive le Niger, je vous remercie.

NIAMEY (Niger), 26 juillet 2021 - L'Agence suédoise de coopération internationale au développement (SIDA) a donné 10 millions de couronnes suédoises (environ 1,2 million de dollars) en financement flexible à l'appel de l'UNICEF pour l'action humanitaire pour les enfants (HAC) au Niger. Cette généreuse contribution aidera l'UNICEF à accélérer sa réponse dans un contexte où les crises sont devenues de plus en plus complexes dans le pays.

 "Les contributions flexibles sont cruciales pour nos interventions d'urgence, nos efforts de secours et de relèvement prolongés, quand et où les besoins sont les plus grands. Les fonds flexibles offrent à l'UNICEF une plus grande flexibilité et prévisibilité pour lancer des opérations, financer des crises négligées et, en fin de compte, améliorer notre réponse à ceux qui en ont le plus besoin", déclare Stefano Savi, représentant de l'UNICEF au Niger.

 Au Niger, les conflits, les déplacements, l'insécurité alimentaire, la malnutrition, les épidémies et épidémies récurrentes, les inondations et les sécheresses cycliques ont mis plus de 3,8 millions de personnes, dont 2,1 millions d'enfants, dans le besoin d'une aide humanitaire, soit une augmentation de 30 % par rapport à 2020. Au début de ce mois, l'UNICEF a lancé un rapport appelant à une attention et une mobilisation accrues pour ces enfants et familles qui "souffrent en silence".

"Compte tenu de l'augmentation spectaculaire du nombre de personnes touchées par les urgences multiples, prolongées et complexes dans le pays, ces contributions flexibles nous permettront d'être plus agiles et nous donneront la liberté d'orienter les ressources vers les parties les plus critiques de nos opérations, là où les besoins sont les plus pressants" a dit M. Savi.

"Cela aidera également l'UNICEF à renforcer la résilience des enfants touchés par les conflits et les catastrophes, qui font partie des communautés les plus vulnérables du Niger, avec un accès à des services essentiels d'approvisionnement en eau, d'assainissement, de nutrition, d'éducation, de santé, de biens non alimentaires (NFIs) et de protection", a-t-il déclaré.

Au cours des dernières années, les financements humanitaires flexibles ont comblé des déficits de financement critiques pour mettre en œuvre des mécanismes de réponse rapide dans des environnements opérationnels instables au Niger. Le gouvernement suédois a conservé sa position comme l'un des principaux contributeurs gouvernementaux au financement thématique humanitaire mondial pour l'action humanitaire.

"Nous sommes profondément reconnaissants au Gouvernement suédois d'avoir une fois de plus démontré son engagement envers les enfants du Niger", conclut M. Savi.

À propos de l’UNICEF

L’UNICEF travaille dans certains des endroits les plus inhospitaliers du monde pour atteindre les enfants les plus défavorisés. Dans plus de 190 pays et territoires, nous travaillons pour chaque enfant, chaque jour, afin de construire un monde meilleur pour tous.

Pour en savoir plus sur l’UNICEF et son action au Niger, veuillez consulter le site : www.unicef.org/niger

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Lalaina F. Andriamasinoro, +227 80 06 60 18, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., UNICEF Niger

Binta Saley Souley, +227 90 39 19 28, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., UNICEF Niger

Mme Bako Binta SOULEY

Chargée des relations avec la presse

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Mobile: +227 9039 19 28

FIXE: +227 2072 7113

La lutte contre l’insécurité dans la zone des trois frontières est loin d’être terminée malgré les avancées enregistrées par les Forces de Défense et de Sécurité des pays concernés  et leurs alliés.

Après deux attaques qui ont visé   deux villages du département de Banibangou ayant occasionnées la mort de plusieurs civiles, au mois de juillet 2021, c’est autour des militaires de l’opération Saki 2, de  perdre leurs vies dans une embuscade tendue par des présumés terroristes qui sévissent dans le département de Torodi.

Dans un communiqué en date du 1er août 2021, le Ministère de la Défense Nationale a porté à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale du bilan de cette énième attaque intervenue le samedi 31 juillet dernier, qui a couté la vie à 15 militaires, faisant 7 blessés et 6 portés disparus.

Selon le communiqué,  les soldats tombés sur le champ d’honneur étaient en mission de ravitaillement pour le poste avancé de Boni dans la zone de Torodi frontalière du Burkina Faso, lorsqu’ils étaient tombés dans une embuscade tendue par des groupes armés terroristes.

Le reste des éléments, dans leur effort d'évacuation de leurs camarades blessés sont tombés sur un engin explosif improvisé, a poursuivi le communiqué.

Après leur forfait, les présumés terroristes ont été poursuivis par les force de défense et de sécurité, appuyées par l'aviation militaire  qui ont d'ores et déjà engagé un large ratissage de la zone afin de mettre la main sur les terroristes, indique-t-on au niveau du ministère de la défense nationale.

C’est pour la première fois qu’une attaque d’envergure intervient dans la zone de Torodi, localité située à une vingtaine de kilomètres de la frontière avec le Burkina Faso.

La zone est certes déclarée rouge avec des enlèvements récurent dont celui  d’un prêtre italien en 2019 et des agents d’une ONG locale, qui étaient  déplacement pour des actions humanitaires en 2020.

Cette attaque intervient, au moment où nos forces de défense et de sécurité sont en train d’enregistrer des succès sur le terrain avec l’élimination de plusieurs terroristes parmi lesquels des hauts responsables. 

Ibrahim Moussa

Les effets du changement climatique se font sentir de plus en plus à travers la planète.

Si dans l’hémisphère Nord c’est la glace qui se fonde d’année en année, au Sahel, le dérèglement climatique provoque des inondations.

Au Niger, le phénomène est récurrent. Tout comme les années antérieures, 2021 n’échappe pas aux conséquences du changement climatique avec des inondations ayant occasionnées des pertes matériels et en vies humaines dans plusieurs localités du pays. Selon un bilan officiel des services de la protection civile, 35 personnes sont mortes  du début de la saison des pluies à la fin du mois de juillet 2021.

Les régions les plus touchées sont Maradi avec 10 morts, Agadez 10 morts et Niamey avec 8 décès. En 2020, les inondations ont fait 73 morts.

Après la pluie le beau temps a-t-on coutume de dire, mais à Niamey après la pluie, est synonyme de calvaire. A chaque fois qu’une grosse pluie s’abat sur  la ville, les habitants ne savent plus à quel saint se vouer du fait de l’impraticabilité des voies qu’elles soient principales ou secondaires. En plus de manque des caniveaux, les voies sont parfois obstruées par des habitants au niveau de certains quartiers.

Cette pratique qui fait révolter les populations, est le comportement de certaines personnes, qui sans autorisation des autorités municipales ou des autorités coutumières, de prendre unilatéralement des dispositions égoïstes pour obstruer le passage des eaux dans les quartiers afin, disent-ils, de se protéger.

Ces initiatives personnelles non concertées peuvent souvent être source de conflits surtout quand il s’agit de protéger son habitat. Il est arrivé souvent des incompréhensions voire des tensions quand l’initiative ne requiert pas l’adhésion de tous et surtout quand les autorités municipales ne sont pas impliquées.

Dans tous les cas, les autorités au niveau centrale et au niveau municipale sont interpellées face à ces inondations répétitives qui nécessite beaucoup plus une politique publique pour y faire face que des colmatages d’urgence qui se répètent chaque année, les occupations anarchiques d’espace urbain, le manque de caniveaux et l’ensablement de ceux qui existent demeurent des préoccupations majeures qui exposent les populations au risques d’inondations.

Ahmed Sidi Balkissa

Avec son siège principal à Dosso et sa représentation à Niamey, L’Entreprise Spécialisée en Commerce Régional de Transport et Equipements (ESCORTE)  vous ouvre ses portes.

Créée par un jeune dynamique soucieux du développement économique de son pays le Niger, l’entreprise escorte est aujourd’hui une référence dans la cité des djermakoyes. Sa performance dans la vente, l’achat et la location de véhicules fait des échos au Niger et à l’étranger.

Située à l’entrée  de Dosso juste après le poste de police d’entrée de la ville en venant de Niamey, l’entreprise ESCORTE met à votre disposition une gamme de véhicules pour vos besoins en déplacement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Niger.

Toyota, Peugeot, BMW, Mazda, Audi, Mercedes Benz, camions… sont entre autres  marques de voitures qui constituent le parking de cette entreprise qui a fait ses preuves en matières de vente et location des voitures surtout lors des dernières élections générales de l’année 2020-2021 lorsque plusieurs candidats et partis politiques ont fait appel à ses services  pour leurs besoins en logistique.

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Qu’il s’agisse des déplacements sur les voies bitumées, latéritiques et/ou sablonneuses, l’entreprise ESCORTE dispose des voitures adaptées à tous les terrains et  à un prix négociable. L’entretien des véhicules revenant de location constitue une priorité avant tout utilisation des fonds reçus de la transaction.

Avec ses cinq années d’existence, la société a déjà conquis les prestataires de ses services tant à Dosso, son siège social  que dans les autres régions du pays et au niveau de la sous-région.

Le  bon état des véhicules, leur entretien et surtout la flexibilité au niveau des prix ne laissent aucun des prestataires indifférent.

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L’une des particularités de l’entreprise ESCORTE, c’est aussi sa capacité de louer des camions pour le transport des marchandises partout au Niger et en Afrique de l’Ouest.

L’entreprise ESCORTE, c’est aussi la vente et la location des véhicules confortables avec toutes les commodités requises.   

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 www.larouedelhistoire.com

Apporter sa modeste contribution dans l’exécution du Programme de la Renaissance acte 3, telle est la raison principale qui a conduit l’épouse du Président de la République Mme Hadiza Bazoum à mettre en place une fondation dénommée Noor qui signifie lumière en arabe.

L’annonce de la constitution de ladite fondation a été faite officiellement le vendredi 30 juillet 2021 dans la somptueuse salle des conférences Mahatma Gandhi.
La cérémonie a enregistré la présence de l’ex première Dame Hadjia Aissata Issoufou, l’épouse du président de l’Assemblée Nationale, Mme Seyni Oumarou Aissa, des membres du Conseil d’Administration de ladite Fondation et plusieurs autres invités.

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A travers la Fondation Noor, la première Dame prévoit d’élargir son champ d’intervention dans le cadre des œuvres caritatives et sociales qu’elle entreprenait déjà avec son ONG SADEB.

Tout ce qui peut concourir au bien-être des populations nigériennes figure sur l’agenda de la première Dame qui ambitionne d’ici 2025 d’atteindre les objectifs à atteindre par la Fondation Noor qui sont : Promouvoir l’égalité et l’inclusion des femmes et des jeunes, améliorer la santé et le bien-être de la population ; améliorer l’accès et le maintien des enfants à une éducation de qualité ; promouvoir les possibilités continuent d’apprentissage ; promouvoir la paix et les droits humains ; renforcer la résilience des communautés et préserver et restaurer l’environnement.

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Ces secteurs identifiés constituent exactement les aspects sur lesquels reposent la politique du Président de la République Mohamed Bazoum à travers son programme de Renaissance acte 3 ainsi que la Déclaration de Politique Générale du Premier Ministre, Chef du Gouvernement.
En s’adressant à l’assistance, la première Dame Hadjia Hadiza Bazoum a remercié tous ceux qui ont effectué le déplacement du centre des conférences Mahamat Gandhi pour témoigner de leur présence, l’avènement de la fondation Noor.

«Permettez-moi de saluer les membres du conseil d’administration de la Fondation Noor mais aussi de remercier les membres du comité de rédaction des textes règlementaires de ladite Fondation ici présents sans lesquels cette rencontre n’aurait été possible», a déclaré la première dame.
La présidente de la Fondation Noor d’assurer les membres du Conseil d’Administration, la direction exécutive et les différentes cellules spécialisées qui composent la Fondation qu’elle mettra tout en œuvre pour l’atteinte des objectifs fixés.

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En attendant le démarrage effectif des activités de la Fondation, nombreux sont les citoyens nigériens qui sont persuadés de la capacité de la fondatrice de cette dernière en matière d’actions salvatrices à l’endroit des populations comme l’a attesté les différents dons et appuis fournis par le passé par l’ONG SADEB, l’ancêtre de la Fondation Noor.

Mahamat Moussa

Chers candidats, les épreuves des examens du Baccalauréat, session 2021, débuteront, Incha Allah, le Mercredi 04 Août 2021 sur toute l’étendue du territoire national.

A cette occasion, la HALCIA vous souhaite bonne chance et vous dit qu’elle compte beaucoup sur vous pour des examens propres, débarrassés de corruption et autres infractions assimilées, comme la fraude.

La corruption en milieu scolaire constitue une menace grave pour le système éducatif de notre pays. En effet, l'enquête conduite dans le cadre du processus d’élaboration de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption a relevé que 78,16% des répondants perçoivent que les services éducatifs sont fortement affectés par la corruption.

Chers candidats et candidates, chers jeunes, avenir de notre pays,

« Ne soyez pas auteur, co-auteur ou complice de cette descente aux enfers de Vécole nigérienne. »

Candidats, parents d’élèves. Présidents, membres des jurys, surveillants et autres acteurs impliqués dans l’organisation des examens du Baccalauréat, session 2021, la HALCIA vous rappelle que selon les dispositions de l’article premier de l’ordonnance n°96-27 du 06 juin 1996 déterminant et réprimant les fraudes aux examens et concours au Niger. « toute fraude commise aux examens et concours qui ont pour objet l ’accès à un emploi public ou un établissement public de formation ou l’obtention d’un diplôme délivré par l’Etat constitue un délit ».

L’article 2 de la même ordonnance dispose :« sera puni d’un emprisonnement de un (1) mois à trois (3) ans et d’une amende de cent mille (100.000) à cinq cent mille (500.000) francs ou de l'une de ces peines seulement, tout individu qui sera auteur ou complice de l ’un des actes énoncés à l 'article premier ».

Selon l’article 3 de l’Ordonnance, la tentative de fraude sera punie comme le délit lui-même.

Chers candidats, le téléphone portable constitue aujourd’hui un moyen de fraude et de tricherie lors des examens et concours. La HALCIA attire votre attention et vous rappelle que le port de téléphone portable est strictement interdit en salle d’examen dans tous les centres par l’Office du Baccalauréat du Niger.

Candidats et candidates, la HALCIA vous rassure de tout son soutien et vous réitère ses vœux de plein succès aux examens du Baccalauréat.

Ensemble contre la corruption pour une éducation meilleure, pour un Niger prospère.

Le palais du 29 juillet a servi de cadre pour la commémoration du 30ème anniversaire de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) le mercredi 29 juillet 2021. Les assises de cet événement historique qui ont permis aux forces vives de la nation de débattre sur plusieurs questions de la vie de la nation notamment l’Unité nationale, le Vivre ensemble, la question de rébellion touarègue, la tuerie des étudiants le 9 février 1990 et autres questions d’intérêt national. Après 98 jours d’intenses travaux, la Conférence Nationale Souveraine a été une occasion pour les  forces vives de la nation de poser  les jalons de la démocratie multipartite au Niger. La rencontre a regroupé près de 1200 délégués représentant les partis politiques, les associations, les syndicats, les leaders religieux et bien d’autres structures. Trois décennies après la tenue de cette grande messe, les acteurs ont jugé utile de regarder à travers le rétroviseur. 30 ans après,  le pays connait une démocratie en dent de scie où élections et coups d’Etat se succèdent.

Au cours de la journée, plusieurs thèmes ont été présentés par les acteurs de la Conférence Nationale Souveraine dont l’historique de cette dernière, les événements qui ont précipité sa tenue, les décisions qui y sont issues, le volet économique et surtout  les perspectives 30 après.

En lançant les activités, le Président du Comité d’Organisation, le doyen Sanoussi Tambari Jackou s’est félicité de la commémoration d’un tel évènement dont la tenue a suscité beaucoup d’espoir chez les populations qui s’attendaient à un lendemain meilleur en matière de gouvernance. Il a salué par ailleurs, la présence de tous les participants qui ont fait le déplacement du palais du 29 juillet.

Faisant partie des principaux acteurs de la conférence nationale souveraine, Sanoussi Tambari Jackou affirme ne pas regretter la tenue de cette rencontre qui a regroupé l’ensemble des couches socioprofessionnelles du pays.

«En effet, jusqu’au dernier jour de ma vie, je resterai fidèle à la conférence nationale», a martelé Sanoussi Tambari Jackou, lui qui a présidé  la commission économique de la CNS.

Sanoussi Tambari Jackou de déplorer par ailleurs la faible participation des acteurs à cette commémoration du 30ème   anniversaire.

Les différents conférenciers ont chacun  présenté un thème  tout en expliquant les valeurs républicaines qui ont été débattues durant les assises de la conférence nationale souveraine.

 Le premier conférencier, le Président du Mouvement pour la Promotion de la Citoyenneté Responsable (MPCR) M. Nouhou Arzika a rappelé aux participants que, la Conférence Nationale Souveraine est un événement qui a été reconnu  et respecté par tous. De la même manière que les autres fêtes de la République, la date d’ouverture la Conférence Nationale Souveraine a été érigée en journée nationale de la démocratie à partir de 2011. Les présentes manifestations entre dans le cadre de la commémoration de ces événements placés sous la célébration de la journée nationale de la démocratie. Ce pour permettre aux citoyens Nigériens de savoir, cette que cette journée-là, est un acquis. C ‘est la conférence nationale souveraine qui était à la base de l’engagement du peuple au processus démocratique et qui a été consacrée dans la Constitution de notre pays.

‘’Les syndicalistes ont joué un rôle capital et très important dans la survenue de cette conférence qui a renforcé la démocratie  au Niger. Depuis l’avènement de la conférence nationale, le fonctionnement politique du Niger a fondamentalement changé’’, a déclaré Nouhou Arzika.

Pour sa part, M. Sabo Saidou a retracé le déroulé de la conférence nationale souveraine. Aussi, l’acceptation du principe de la conférence nationale souveraine, les travaux préparatoires et le déroulement des assises de la conférence.

Pour le conférencier M. Mamoudou Souley la Conférence Nationale Souveraine  a posé une base de référence. On peut même dire que, si l’on n’avait bien gardé les esprits d’application des actes de la CNS que les décisions de la Conférence Nationale Souveraine  pouvaient être supra constitutionnelles.

La Conférence Nationale Souveraine  a effectivement, au cours des travaux en commission, consacré la lutte contre la corruption et l’assainissement comme un élément fondamental. Parce que, cela compte aussi parmi les grèves contre lesquelles, l’ancien pouvoir a été remplacé par la CNS et les institutions de la transition.

Il faut dire que les différentes présentations des conférenciers ont été suivies d’échanges houleux et enrichissants sur les thématiques du jour entre les participants et les acteurs de la Conférence Nationale Souveraine.

Mahamat Moussa


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