Warning: Creating default object from empty value in /htdocs/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Ibrahim Moussa Illagamo
Ce mardi 27 août 2024, le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), Chef de l’Etat a signé une ordonnance instituant un fichier de personnes, groupe de personnes qui ont été impliquées dans des actes terroristes ou dans toute autre infraction portant atteinte aux intérêts stratégiques et ou fondamentaux de la Nation ou de nature à troubler gravement la tranquillité ou la sécurité publiques et fixant les modalités d’inscription et de retrait ainsi que les effets y relatifs. Il s’agit, a précisé le communiqué rendant publique cette ordonnance, « d’une procédure administrative visant à renforcer les mécanismes de lutte contre le terrorisme et les infractions portant aux intérêts stratégiques et/ou fondamentaux de la Nation ».
Selon le communiqué, les faits susceptibles de donner lieu à l’inscription au fichier sont, entre autres :
- Commission, planification, soutien ou facilitation des actes terroristes ;
- Appartenance à une entité terroriste ;
- Menace pour la stabilité de la Nation
- Port d’arme contre l’Etat ;
- Intelligence avec une puissance étrangère en vue de l’engager à entreprendre des hostilités contre l’Etat en lui fournissant les moyens, en facilitant la pénétration des forces étrangères sur le territoire nigérien, en ébranlant la fidélité des armées ou de toute autre manière
- Livraison à une puissance étrangère ou à ses agents sous quelle que forme ou par quel que moyen que ce soit, de renseignements, d’un objet, de documents ou d’un procédé qui doit être tenu secret dans l’intérêt de la défense nationale
- Diffusion de données ou de propos de nature à troubler l’ordre public.
L’inscription d’une personne, d’un groupe de personnes ou d’une entité au fichier intervient dès l’ouverture d’une enquête ou d’une procédure judiciaire après une condamnation judiciaire sur demande des services de renseignements, ajoute le communiqué rendant publique l’ordonnance lu sur la RTN. Cette inscription, poursuit la même source, entrainera de plein droit pour les personnes concernées le gel des avoirs financiers, l’interdiction de se déplacer à l’intérieur du pays ainsi que de voyager à l’étranger et les restrictions de transactions commerciales.
En cas de poursuite pour ces infractions l’individu poursuivi peut être déchu provisoirement par décret de la nationalité nigérienne et cette déchéance acquiert le caractère définitif en cas de condamnation à une peine d’emprisonnement supérieure ou égale à cinq (5) ans, indique l’ordonnance.
Un comité national du fichier est institué pour statuer sur les demandes d’inscription ou de retrait et sur les contestations administratives relatives au retrait de personnes, groupes de personnes ou d’entité.
C’est dire que désormais, l’extrême prudence doit être de mise pour ne pas tomber dans le panneau de cette ordonnance.
Cette mesure administrative de renforcement de lutte contre le terrorisme intervient dans un contexte où de nombreux supports de communication sont utilisés par certains de nos compatriotes vivant à l’intérieur du pays comme à l’extérieur pour faire l’apologie du terrorisme ou véhiculer des informations de nature à troubler l’ordre public.
Mato Mani
Société : En attendant le retour de la démocratie, les partis politiques tentent de survivre
Depuis les évènements du 26 juillet 2023 et la suspension des activités des partis politiques, ces derniers se sont conformés religieusement aux consignes du CNSP. En dehors de quelques communiqués anodins, rendus publics par certains petits partis politiques avec de desseins opportunistes, pour soutenir les nouvelles autorités, au lendemain du Coup d’état ou des petites annonces liées à certains évènements sociaux, aucune activité politique publique d’envergure n’a été signalée jusque-là. Au contraire, les leaders desdits partis politiques se sont murés dans un silence total, se contentant d’apparaitre uniquement à des cérémonies de mariages, de baptêmes ou autres. Ils se sont abstenus même d’intervenir dans les débats publics ou sur la gestion de la présente transition pour montrer « pattes blanches » et leur bonne foi à respecter les nouvelles orientations du pays et pour qu’on ne leur prête surtout pas de mauvaises intentions. Mais derrière ce calme apparent, il se rapporte que les principaux partis politiques mettent à profit cette période creuse pour affuter les stratégies en attendant le retour de la démocratie.
Il y’a quelques jours, la presse a fait écho d’une rencontre qui aurait eu lieu au Benin entre les alliés de l’ancienne Alliance pour la Réconciliation Nationale (ARN). Selon un journal de la place, Seini Oumarou du MNSD-Nassara et Mahamane Ousmane président du RDR Tchanji ont rejoint Hama Amadou du Moden FA Lumana à Cotonou pour échanger sur l’avenir. Mais rien n’a fuité encore de leur conclave.
Aux yeux des observateurs, cette information n’a rien d’étonnant parce que les trois leaders ont à maintes reprises tenté de cheminer ensemble, et c’est toujours au dernier moment que le bloc se brise face à des calculs égoïstes. Ces trois leaders ont toujours rêvé d’isoler le PNDS, en faisant bloc ensemble durant des années et au fil des élections, mais la forteresse du PNDS a su résister et déjouer les assauts dudit trio. Le LUMANA, en particulier qui est la tête de proue du groupe a tout essayé pour ébranler le système PNSD. Des manifestations de rue, de la manipulation de l’information, de la société et autres syndicats, des violences et des complots de tout genre, rien n’a été épargné pour arrêter la marche du PNDS depuis la déchéance politique de Hama Amadou.
Il a fallu un 26 juillet 2023, le jour où le mur s’est lézardé pour que la muraille PNDS s’effondre brutalement.
Comme dans un pressentiment, Mahamadou Issoufou a pourtant prévenu ses compagnons, dès les premières heures de leur aventure. « Sai bango aya tchangué, kadangaré yaké chiga ». Au dernier congrès du parti tenu en 2022 à Niamey, il a été encore plus explicite sur les risques d’une division interne du parti qu’il voyait se profiler. Il a vu juste ! Aujourd’hui, le PNDS traverse une crise grave qui risque de le fragiliser profondément, alors que par le passé il a su surmonter toutes les tempêtes.
Après le groupe de l’ARN, il se raconte que du côté de la MRN également, le PNDS garde encore des contacts bienveillants avec certains partis politiques comme L’ANDP Zaman Lahiya, Le CPR Ingantchi et même le Jamhuria de Albadé Abouba etc… Ceux-là qui sont toujours liés au parti de Mahamadou Issoufou dans les meilleurs et les pires moments. Eux aussi, semble-t-il, parlent de l’avenir de temps en temps.
Toutefois, il faut noter qu’il ne s’agit pas d’activité politiques proprement dites au niveau de ces deux grands groupes. Il s’agit tout simplement d’échanges de civilités et de projections pour l’avenir, mais il n’en demeure pas moins que ces partis politiques tout en attendant dans la plus grande discipline le retour à la démocratie, sont impatients de renouer avec les harangues politiques et leurs bases respectives. Toujours est-il qu’au stade actuel, il faut louer le sens de responsabilité dont ils ont fait preuve dans leur ensemble, en respectant strictement les injonctions du CNSP. D’ailleurs ils se sont inscrits dans la dynamique de la rupture et du combat pour la souveraineté et la dignité de notre pays. Toute la classe politique ou presque a pris part à travers ses militants aux derniers mouvements tenus sur l’ensemble du pays chasser les envahisseurs étrangers. Cette classe politique a donné des gages sur sa disponibilité d’accompagner pleinement le Général Tiani et ses compagnons pour la réussite de la transition en cours. Par contre, il est évident qu’ils piaffent d’impatience pour avoir une idée sur l’agenda de la transition, peu importe la durée de celle-ci, pour mieux s’organiser et remettre les troupes en ordre de bataille en vue des joutes électorales prochaines.
Sauf que à bien comprendre le discours du président Tiani sur le retour des partis politiques au pouvoir, on doit s’attendre à beaucoup de reformes de la part du CNSP. Il a déjà annoncé la révision prochaine des textes pour prendre des dispositions qui ne permettent plus à certains groupes de s’accaparer le pouvoir pour le garder et le gérer à leur guise.
Cette position est aussi partagée au niveau de l’opinion publique qui voulait d’un véritable assainissement de la classe politique pour mettre fin à la pléthore des partis politiques et à la chienlit qui s’est installée avec plus de cent quatre-vingt-trois (183) partis politiques avant le coup d’état dont dix-neuf (19) seulement sont représentés à l’Assemblée Nationale et plus d’une centaine qui ne sont pas fonctionnels parce qu’ils n’ont jamais pris part à un scrutin en leur nom.
En attendant la reprise des activités politiques, les méditations, les consultations en sourdine et les manœuvres se poursuivent dans le plus grand silence.
Adoum Boulkassoum
Réduction des coûts de soins de santé dans les établissements publics : Le geste salvateur du Président du CNSP
Le Président du CNSP, Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, multiplie les gestes d’accompagnement à la résilience des populations nigériennes. Après la réduction du coût du carburant à la pompe matérialisée le 23 juillet 2024, le Conseil des Ministres du 22 août 2024 vient d’approuver le projet de réduction des coûts de prestations dans les établissements sanitaires publiques et la gratuité de certains soins. Un nouveau soulagement pour les populations qui a touché du doigt une préoccupation majeure de l’ensemble des nigériens, de toutes les couches sociales et de toutes les conditions. Ce train de décisions ajouté aux mesures spécifiques prises notamment dans l’accompagnement des populations sinistrées victimes des inondations et l’assistance aux populations vulnérables à travers la distribution gratuite et la vente à prix modéré de vivres aux populations nécessiteuses pendant la période de soudure ainsi que les appuis en engrais apportés aux paysans et particulièrement aux riziculteurs témoignent de la volonté du CNSP à être à l’écoute des populations et de répondre à ses profondes aspirations.
Coup sur coup, le Président du CNSP a pris des mesures sociales fortes qui vont impacter le quotidien du Nigérien. Des décisions qui interviennent dans un contexte difficile consécutif aux effets des sanctions asphyxiantes prises par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Union Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA). Malgré tout le Niger a tenu debout et les vaillantes populations du Niger ont fait preuve d’une résilience exceptionnelle.
Malgré ces circonstances difficiles, le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) a gardé le cap avec comme principale ligne de conduite l’affirmation de la souveraineté du pays sur toutes ses ressources et la préservation de la dignité du peuple. Dans ce cadre, en dehors des décisions courageuses prises par le CNSP sur le plan sécuritaire et diplomatique, les actions sociales s’enchainent au grand soulagement des populations.
Ce fut d’abord la réduction des prix des hydrocarbures devenue effective à partir du 23 juillet 2024. Le litre d’essence (Super 91) est passé de 540 à 499 FCFA et celui de gasoil de 668 à 618 FCFA. L'objectif visé par cette mesure était aussi de permettre la baisse du prix des transports et par voie de conséquence celle du prix des produits de première nécessité.
La deuxième mesure sociale fort significative, accueillie avec soulagement par les populations, intervenue au Conseil des Ministres du 22 août 2024, porte sur la réduction des coûts de soins dans les établissements sanitaires publics. Des mesures qui visent à améliorer l’accès aux soins pour les populations les plus démunies, en particulier celles vivant en milieu rural et qui entreront en vigueur le 1er septembre 2024, selon les conclusions du Conseil des Ministres. Ces mesures qui touchent toutes les couches sociales et tous les âges portent sur :
- La réduction de 50% des coûts pour les consultations curatives, hospitalisations, examens de laboratoire, imagerie, et actes médico-chirurgicaux ;
- La gratuité des accouchements et de la dialyse.
Le troisième geste salvateur est la prise en charge des victimes des inondations sur fonds propres. « Le financement des opérations de gestion des inondations sera assuré principalement par les ressources propres de l’État. Un montant de 2 milliards de FCFA, issu des recouvrements de la CoLDEFF, sera affecté à ces opérations. De plus, un réaménagement budgétaire allouera 10 milliards de FCFA pour les opérations de prévention et de gestion des inondations. » a annoncé le CNSP à l’issue du Conseil des Ministres du 22 août 2024.
Ce train de mesures témoigne de l’écoute attentive du CNSP aux préoccupations fondamentales des populations qui saluent à juste titre la volonté du Président du CNSP, le Général Abdourahamane Tiani d’être en phase avec ses attentes. Les différentes décisions, en effet, concernent tout le monde et sont digne de l’intérêt général que le CNSP a placé au centre de son agenda.
Face aux catastrophes engendrées par les précipitations diluviennes enregistrées ces derniers temps et à la flambée des produits de premières nécessité, le Gouvernement de la transition a été instruit pour procéder à la distribution gratuite des vivres aux personnes directement affectées, à la vente à prix modéré des céréales et à la prise de mesures pour rendre accessible sur les marchés les denrées alimentaires.
Il reste que le Gouvernement doit déployer, à temps, tous les moyens nécessaires à la mise en œuvre de ces mesures salutaires en faveur des populations.
De même il est attendu du CNSP, un autre geste sur la question sensible de la réouverture de la frontière entre le Bénin et le Niger pour la reprise effective des échanges commerciaux qui conséquemment impacteront positivement sur la cherté actuelle de la vie.
Adoum Boulkassoum
Bisbilles à Aéroport International Diori Hamani : Des recrutements qui font grincer les dents
Depuis quelques jours le personnel de l’aéroport Diori Hamani de Niamey crie au scandale suite à certaines pratiques qui ont court au niveau de leur boite, particulièrement le recrutement du chef d’une de leur section technique à savoir la section KH. Plusieurs candidatures ont été enregistrées à la suite de l’ouverture de la vacance dudit poste dont celles du superviseur de la section en question et le coordonnateur de ladite section. Mais voilà que selon certaines informations le DGA essaie de mettre de côté toute la procédure pour faire à sa guise.
Il veut, semble-t-il nommer un garçon qui n’a pas le profil comparativement aux deux cadres cités plus haut. Les mauvaises langues racontent d’ailleurs que le garçon en question serait son propre neveu.
Dans le même ordre d’idée, on signale d’autres cas de promotions qui ont été faites toujours à l’aéroport Diori Hamani sur des bases purement subjectives dans le cadre de la fameuse pratique qui a ruiné l’administration nigérienne depuis un moment à savoir le placement des parents, amis et même des copains et copines.
Le personnel de l’aéroport appelle aux nouvelles autorités d’intervenir au plus vite pour arrêter cette machine infernale.
Mato Mani
Les Ateliers OPUIS à Niamey : des fausses informations et la cohésion sociale au cœur des échanges.
La salle de conférence du SNAD a servi de cadre, ce samedi 24 août 2024, à la première rencontre de « Les Ateliers OPUIS » à Niamey. Une rencontre organisée à l’endroit de la jeunesse nigérienne sur les fausses informations en rapport avec la cohésion sociale. Initiés par l’Observatoire Panafricain pour l’Unité, l’Intégrité et la Souveraineté (OPUIS), « Les Ateliers OPUIS » est une rencontre panafricaine, dédiée à des débats essentiels sur les enjeux du continent africain.
L’acte 1 de l’édition du Niger, organisé autour du thème « La jeunesse et l’éducation aux médias et aux réseaux sociaux pour la cohésion sociale », a vu la participation de plusieurs personnalités notamment des représentants des organisations de la société civile, des jeunes venus nombreux pour suivre les panélistes.
Prenant la parole, le coordonnateur de « Les Ateliers OPUIS », M. Lucien Agbeko Masseme s’est réjoui de l’engouement des jeunes aux idéaux des Ateliers OPUIS. En effet, l’Observatoire Panafricain pour l’Unité, l’Intégrité et la Souveraineté (OPUIS) est un « produit de la jeunesse africaine, en vue de promouvoir des valeurs africaines telles que l’intégrité, l’unité et la souveraineté. Le tout porté par l’esprit panafricain », a-t-il indiqué.« Les Ateliers OPUIS » s’est donné comme mission, d’outiller la jeunesse africaine face aux défis, dans un contexte de prolifération des fausses informations. Le thème général a été abordé sous deux angles par d’éminents panélistes : Lamine Souleymane, journaliste, Expert en communication politique et Souleymane Brah, journaliste, Factchecker.Pour Lamine Souleymane, « la cohésion sociale est mise à rude épreuve, en raison du contexte d’insécurité. La désinformation, on pense que ce sont ceux qui ne sont pas au pouvoir qui l’utilisent, mais dans beaucoup de pays, de plus en plus des détenteurs du pouvoir usent de cette stratégie pour manipuler une opinion et intoxiquer leur population ».De son côté, Souleymane Brah a déclaré que « la jeunesse est à la fois, la cible et la victime de la désinformation », dans le contexte actuel du Sahel. Les Fakenews ou fausses informations, fait-il savoir, ont pour but de tromper l’opinion, sous différentes formes : la parodie, le contenu trompeur, la fausse connexion ou encore le faux profil.Ainsi, pour combattre les fausses informations, les panélistes invitent les participants à cesser avec le partage instantané de photos et d’informations et à s’armer du réflexe de vérification. « Avant de partager une information, nous devons nous poser la question de savoir si elle est utile ou si elle peut nuire à quelqu’un », a déclaré Brah.Même son de cloche chez son co-paneliste, « Lorsque vous faites l’effort de vérifier une information avant de la partager, vous contribuez à lutter contre la désinformation à votre façon… L’information, même si elle est vraie et vérifiée mais peut troubler à l’ordre public, il est important de ne pas la relayer pour protéger notre cohésion sociale », a précisé Lamine.M. Noukpo Urbain Aguemon, spécialiste de la communication digitale et modérateur a conclu la rencontre en ces termes : « l’éducation à l’utilisation efficiente des réseaux sociaux doit débuter dès les cours primaires. La cohésion sociale est l’affaire de tous ».Pour rappel, l’acte 2 de l’étape du Niger de « Les Ateliers OPUIS » est prévu pour octobre prochain.
La Société Minière de DASA SA (SOMIDA), filiale de la Société canadienne Global Atomic Corporation vient de bénéficier d’un renouvellement de confiance des plus hautes autorités nigériennes. Notification en a été faite par le Ministre Directeur de Cabinet du Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), en réponse à une lettre du Président Directeur de l’l’Entreprise cannadienne en date du 12 juillet 2024. Le Ministre Directeur de Cabinet du Président du CNSP a assuré, dans une correspondance en date du 15 août 2024, la compagnie canadienne de toutes les dispositions qui seront prises pour un bon accompagnement de l’Etat au profit du projet DASA de SOMIDA.
L’intérêt manifesté par les deux parties et le renouvellement de la confiance à la SOMIDA pour le projet DASA intervient dans un contexte où le Niger a rompu les contrats d’exploration et d’exploitation de l’uranium au Niger des sociétés IMOURAREN SA filiale de la Société française ORANO et de l’entreprise canadienne GoVIEX, pour non respect des engagements contractuels.
La Société Minière de DASA SA (SOMIDA) créée le 11 août 2022, faut-il le rappeler, est un partenariat entre la République du Niger et Global Atomic Corporation. Le projet DASA est situé dans la région d’Agadez au nord du pays, où de nombreux gisements d’uranium ont été prouvés.
Le gisement de DASA, indique-t-on, est caractérisé par des structures discordantes de type graben du Cambrien au Crétacé, et présente des teneurs élevées en uranium. Le gisement se situe entre 80 et 600 mètres de profondeur.
Le projet très ambitieux et digne d’intérêt et constitue une nouvelle opportunité pour le Niger qui a épuisé l’exploitation du gisement de la société minière d’Akouta (COMINAK) et qui a remis dans le domaine public le site d’Imouraren. DASA prévoit le développement d’une mine d’uranium souterraine et la construction d’une usine de traitement capable de traiter 1 000 tonnes de minerai par jour. La construction de la mine et de l’usine de traitement devrait commencer à la mi-2024, et la mise en service est prévue pour la fin de 2025.
Le projet DASA devrait créer de nombreux emplois directs et indirects et générer d’importantes recettes fiscales pour le Niger et stimuler la croissance économique à différents niveaux, selon ses initiateurs.
Il faut dire que ce renouvellement de confiance de l’Etat du Niger à la SOMIDA intervient dans un contexte où, depuis l’avènement du CNSP au pouvoir, le Niger a marqué sa volonté de jouir pleinement de ses ressources minières et pétrolières à travers des contrats gagant-gagnant et respecteux de la souveraineté du Niger et des lois et règlements en vigueur.
Adoum Boulkassoum
Suspendue par les autorités nigériennes de transition, après l’arrestation des cinq nigériens de la compagnie WAPCO-Niger au Bénin, l’exportation du pétrole brut nigérien par la plateforme du pipeline de Sèmè-Kpodji au Bénin a repris, selon la presse béninoise.
Vendredi 16 août, un navire dénommé AURA-M, avait accosté dans les eaux béninoises et y resté 72 heures. Selon RFI, le nouveau tanker est parti le mardi 20 août 2024 vers 16 heures locales avec une cargaison d’environ 1 million de barils de brut nigérien en destination de la Chine qui serait sa destination finale.
La même source indique que ‘’Le navire a bénéficié de l’assistance et de l’accompagnement demandés aux autorités béninoises par la société Wapco Bénin à la veille de son arrivée. Il a été escorté, des gardes armées ont été mises à disposition et déployées à bord, pour assurer la sécurité pendant le chargement’’.
C’est la deuxième cargaison après l’enlèvement d’un million de barils autorisé par les autorités nigériennes de transition le 19 mai 2024 au terminal de Sèmè Kopdji.
La reprise de l’exportation du brut nigérien intervient après la mission de médiation entreprise par les anciens présidents béninois Nicéphore Soglo et Boni Yayi à Niamey au Niger pour plaider pour un dialogue et une réouverture de la frontière terrestre entre les deux pays.
Cette mission des anciens Chefs d’Etat du Bénin a été suivie par une mission d’une haute délégation nigérienne conduite par le Ministre d’Etat de l’intérieur le Général Mohamed Toumba en République du Bénin.
La reprise de l’exportation du brut nigérien par le terminal de Sèmè Kopdji constitue un signe d’une décrispation des rapports entre les deux pays et pourrait déboucher sur une éventuelle réouverture de la frontière terrestre, côté nigérien. Du moins c’est le souhait exprimé par les populations et surtout les opérateurs économiques tant au Bénin qu’au Niger.
Autre signe d’apaisement, récemment, l’Ambassadeur du Bénin près le Niger, Gildas Agonkan accrédité au Niger depuis près d’un an a présenté ses lettres de créances. Ce qui augure de la normalisation des relations diplomatiques entre les deux pays brouillées depuis l’application à la lettre par le Bénin des lourdes prises par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), contre le Niger avec l’arrivée au pouvoir du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) le 26 juillet 2023.
Adoum Boulkassoum
La marche de la transition actuelle n’a pas fini de surprendre et de désenfler les marchands d’illusions de tout acabit qui ont pensé que les membres du CNSP étaient aussi godiches pour renverser le PNDS et leur remettre gracieusement le pouvoir qu’il n’ont pas réussi à obtenir par la voie des urnes. Aux premières loges de cette catégorie de nigériens qui rêvent debout depuis le 26 juillet 2023 de récupérer les fruits de l’avènement du CNSP au pouvoir se trouvent sans surprise les militants du Moden FA Lumana et leur leader Monsieur Hama Amadou qui courent désespérément derrière le pouvoir ces dernières années.
La dernière épreuve qu’il a essuyée est certainement le limogeage brutal du ministre du pétrole, M. Barké Bako Mahaman Moustapha le weekend end dernier, alors que ce dernier était en déplacement, du côté de Cotonou, où réside justement le grand timonier de la politique globale de la maison mère, depuis l’arrivée du CNSP au pouvoir.
Avec le débarquement de ce dernier de son prestigieux poste de ministre du pétrole au moment où cette denrée est devenue l’enjeu principal pour booster notre économie, avec l’augmentation de la production journalière oscillant autour de 90.000 barils par jour, il faut avouer que c’est le ciel qui tombe sur la tête des militants de Lumana FA, car ce Monsieur jouait un rôle déterminant dans les manœuvres de Hama Amadou. Selon certaines informations en dehors du paquet des postes de responsabilités qu’il a pu rafler pour son parti aux niveaux des trois portefeuilles qui étaient sous son magistère avant le réaménagement, à savoir le Pétrole, l’Energie et les Mines, le Sieur Barké est le principal pourvoyeur de ressources pour le fonctionnement des différents comités, brigades et autres fronts subversifs crées pour la circonstance par les laboussanistes.
Autant dire que le Général Tiani a frappé dans la fourmilière de Lumana, qui commence certainement à s’interroger sur l’avenir et les réelles chances de leurs intrigues ourdies de jour comme de nuit.
Il y’a quelques jours, les laboussanistes se réjouissaient de l’annulation des nominations de certains secrétaires généraux des commune rurales suite à leur publication sur les réseaux sociaux, sous prétexte qu’ils des militants du PNDS. Ils continuent de réclamer à tue-tête l’arrestation de l’ancien président de la République Mahamadou Issoufou.
Même si l’éviction de ministre Barké du gouvernement, serait liée à des suspicions qui reposent sur des pratiques mafieuses autour de sommes colossales d’argent selon les premières informations, il n’en demeure que le CNSP envoie par cet acte un message clair aux laboussanistes et consorts. « La transition n’est pas à vendre ». Le Général Tiani l’a du reste dit et répété à l’occasion de toutes ses sorties, que le CNSP va se consacrer exclusivement aux intérêts de la nation et de son peuple indistinctement des colorations politiques ou de toute considération partisane.
Ainsi donc les labounassanistes se trompent de croire que le CNSP tombera dans leur jeu fondé exclusivement sur des calculs politiques.
Adoum Boulkassoum
La marche de la transition actuelle n’a pas fini de surprendre et de désenfler les marchands d’illusions de tout acabit qui ont pensé que les membres du CNSP étaient aussi godiches pour renverser le PNDS et leur remettre gracieusement le pouvoir qu’il n’ont pas réussi à obtenir par la voie des urnes. Aux premières loges de cette catégorie de nigériens qui rêvent debout depuis le 26 juillet 2023 de récupérer les fruits de l’avènement du CNSP au pouvoir se trouvent sans surprise les militants du Moden FA Lumana et leur leader Monsieur Hama Amadou qui courent désespérément derrière le pouvoir ces dernières années.
La dernière épreuve qu’il a essuyée est certainement le limogeage brutal du ministre du pétrole, M. Barké Bako Mahaman Moustapha le weekend end dernier, alors que ce dernier était en déplacement, du côté de Cotonou, où réside justement le grand timonier de la politique globale de la maison mère, depuis l’arrivée du CNSP au pouvoir.
Avec le débarquement de ce dernier de son prestigieux poste de ministre du pétrole au moment où cette denrée est devenue l’enjeu principal pour booster notre économie, avec l’augmentation de la production journalière oscillant autour de 90.000 barils par jour, il faut avouer que c’est le ciel qui tombe sur la tête des militants de Lumana FA, car ce Monsieur jouait un rôle déterminant dans les manœuvres de Hama Amadou. Selon certaines informations en dehors du paquet des postes de responsabilités qu’il a pu rafler pour son parti aux niveaux des trois portefeuilles qui étaient sous son magistère avant le réaménagement, à savoir le Pétrole, l’Energie et les Mines, le Sieur Barké est le principal pourvoyeur de ressources pour le fonctionnement des différents comités, brigades et autres fronts subversifs crées pour la circonstance par les laboussanistes.
Autant dire que le Général Tiani a frappé dans la fourmilière de Lumana, qui commence certainement à s’interroger sur l’avenir et les réelles chances de leurs intrigues ourdies de jour comme de nuit.
Il y’a quelques jours, les laboussanistes se réjouissaient de l’annulation des nominations de certains secrétaires généraux des commune rurales suite à leur publication sur les réseaux sociaux, sous prétexte qu’ils des militants du PNDS. Ils continuent de réclamer à tue-tête l’arrestation de l’ancien président de la République Mahamadou Issoufou.
Même si l’éviction de ministre Barké du gouvernement, serait liée à des suspicions qui reposent sur des pratiques mafieuses autour de sommes colossales d’argent selon les premières informations, il n’en demeure que le CNSP envoie par cet acte un message clair aux laboussanistes et consorts. « La transition n’est pas à vendre ». Le Général Tiani l’a du reste dit et répété à l’occasion de toutes ses sorties, que le CNSP va se consacrer exclusivement aux intérêts de la nation et de son peuple indistinctement des colorations politiques ou de toute considération partisane.
Ainsi donc les labounassanistes se trompent de croire que le CNSP tombera dans leur jeu fondé exclusivement sur des calculs politiques.
Adoum Boulkassoumv
Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani a frappé fort le samedi 17 août 2024. Il a tout simplement congédié du gouvernement, sans autre forme de procès, le Ministre du pétrole, Barké Bako Mahaman Moustapha. Il est vrai que ce n’était pas encore le remaniement gouvernemental profond tant attendu par l’opinion publique nationale. Mais le réaménagement technique du samedi 17 août 2024 sonne comme un avertissement pour les membres du Gouvernement qui doivent se dire désormais qu’il y’a une ligne rouge à ne pas franchir.
Personne, même au sein de la haute sphère du pouvoir, ne s’attendait, ce samedi 17 novembre 2024, à un remaniement technique du Gouvernement. La nouvelle est donc tombée comme un couperet provoquant des frissons au sein de l’équipe gouvernementale qui apprenait, comme tous les autres citoyens, le limogeage du Ministre du Pétrole, Barké Bako Mahaman Moustapha, remplacé par Dr Sahabi Oumarou.
Le Ministre Barké n’est pourtant pas n’importe qui dans l’équipe Gouvernementale. Il est l’ami personnel du Premier Ministre, Ministre de l’Economie et des Finances Ali Mahaman Lamine Zeine avec la bénédiction duquel il s’est retrouvé le 9 août 2023 dans le gouvernement avec en charge, le pétrole, les mines, l’énergie et les énergies renouvelables. Le 19 février 2024, à la faveur d’un remaniement technique du gouvernement, le Ministre Barké perdit le portefeuille des Mines et celui de l’énergie pour se retrouver uniquement avec celui du pétrole. Depuis lors, certains observateurs prédisaient que ses jours étaient comptés au sein du gouvernement. Il a fallu juste six (6) mois pour que finalement le Général Abdourahamane Tiani se décide à se débarrasser de ce Ministre à qui instructions ont été données au mois de février 2024 de procéder à l’annulation de quelques permis miniers qu’il a attribués dans des conditions obscures. La confiance était rompue depuis lors et Barké sauvé par le Premier Ministre après l’affaire des permis miniers douteux était surveillé de près. C’est donc sur la base d’un rapport accablant bien ficelé que le Général Tiani a agi, sans crier gare, le samedi 17 août 2024, un jour non-ouvrable pour remplacer le Ministre Barké alors en déplacement dans la sous-région. On ignore pour le moment le contenu du rapport. Mais selon certaines sources au parfum du dossier, le Ministre du pétrole aurait commis des fautes graves sur fond d’affairisme dans la manne pétrolière.
La décision très forte a un effet de douche froide d’abord dans les milieux du Gouvernement où personne n’a soupçonné un tel coup, y compris le Premier Ministre.
Il est vrai que depuis le bouclage de la première année du CNSP au pouvoir le 26 juillet dernier, les échos d’un remaniement du gouvernement se faisaient persistants.
Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat vient d’en donner le signal en attendant le grand chambardement. Il est évident que Barké n’est pas le seul à commettre des impairs. Le Chef de l’Etat doit encore fouiller dans la fourmilière gouvernementale où certains membres du gouvernement ne sont habités que par le gain de l’appât facile tandis que d’autres malheureusement ont brillé par leur inertie au cours de cette première année du CNSP aux commandes de l’Etat.
Un grand défi pour Dr Sahabi Oumarou
En attendant des explications officielles sur l’éjection du Ministre du Pétrole, Barké Bako Mahaman Moustapha, dans les milieux avisés, la décision du Chef de l'État, le Général Abdourahamane Tiani de placer Dr Sahabi Oumarou à la tête de ce Ministère stratégique procède de sa volonté d’impulser une nouvelle dynamique au secteur pétrolier nigérien.
Juriste, éminent enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) l’Université Abdou Moumouni de Niamey, le nouveau Ministre du Pétrole, Dr Sahabi Oumarou, est un expert du droit des affaires. Il occupait, depuis le 4 janvier 2024 jusqu'à sa récente nomination, le poste de Directeur général de l’Agence Nigérienne pour la Promotion des Investissements Privés et des Projets Stratégiques (ANPIPPS).
De nombreux observateurs qui connaissent le nouveau Ministre du Pétrole estiment qu’il présente toutes les qualités requises pour accomplir efficacement sa mission, de piloter le département ministériel que lui a confié le Chef de l'État Abdourahamane Tiani.
Le secteur pétrolier est un secteur économique stratégique pour le Niger, qui compte l’exploiter à bon escient pour booster le développement socioéconomique du pays.
C’est dire que les nigériens qui nourrissent beaucoup d’espoir pour l’exploitation pétrolière attendent du nouveau locataire du Ministère du Pétrole, Dr Sahabi Oumarou, de créer les conditions de la reprise de l’exportation du brut nigérien, des réformes profondes et des initiatives à même de garantir les intérêts du Niger dans l’exploitation de l’or noir.
Adoum Boulkassoum
Ouagadougou (Burkina Faso), 23 août2024 – Dans le cadre de la mise en œuvre de la Feuille de route de l’Union Africaine « Tirer pleinement profit du dividende démographique en investissant massivement dans la jeunesse », le Bureau sous-régional pour l'Afrique de l'Ouest de la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (BSR-AO/CEA), en partenariat avec le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Prospective, organise, du 26 au 27 août 2024, à Ouagadougou, un Dialogue Politique National avec les parlementaires et les décideurs politiques sur la Budgétisation Sensible au Dividende Démographique (BSDD) au Burkina Faso,.
L’objectif principal de ce Dialogue est de présenter aux décideurs politiques et les parlementaires les résultats techniques de Budgétisation Sensible au Dividende Démographique obtenus par le Burkina Faso, afin que le budget 2025 du pays soit sensible au dividende démographique. Ce dialogue politique national permettra également de renforcer les capacités des députés pour une meilleure participation à l’examen du projet de loi des finances sous les prismes du dividende démographique, ainsi que l’opérationnalisation et l’institutionnalisation de l’approche de la BSDD dans le processus budgétaire au Burkina Faso.
Cette initiative arrive à point nommé pour accélérer la capture du dividende démographique, essentielle à un développement économique inclusif, transformationnel et durable du pays.
Selon les estimations de l’Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD, 2022), le Burkina Faso connaît une croissance démographique rapide, avec un taux annuel d'environ 3% et un taux de fécondité de 5,4 enfants par femme, dépassant la moyenne régionale de 4,5 en 2022. De plus, plus de 45,3% de la population est constituée de jeunes de moins de 15 ans. La population active (15-64 ans) représente 51,3% de la population totale, tandis que le rapport de dépendance démographique était estimé à 95% en 2019. Cela signifie que 100 adultes en âge de travailler prennent en charge 95 personnes dépendantes, c’est-à-dire des jeunes de moins de 15 ans et/ou des personnes âgées de plus de 65 ans.
Ce profile démographique entraîne des répercussions sur la création de richesses, le développement inclusif et durable, et la capacité du pays à répondre adéquatement aux besoins de sa population, surtout les besoins des jeunes en matière d’éducation, de santé et d’emplois. Pour cela, il est nécessaire d’allouer efficacement et de manière efficiente les ressources publiques aux secteurs porteurs de l’exploitation du dividende démographique, en l’occurrence l’éducation, la santé et la création d’emplois décents pour les jeunes (les filles comme les garçons), via le budget de l'État, l'outil par excellence pour la mise en œuvre des objectifs de développement du Burkina Faso.
La mise en œuvre de la feuille de route pour la Budgétisation Sensible au Dividende Démographique (BSDD) au Burkina Faso a permis de renforcer les capacités des acteurs responsables de l’élaboration et de l’exécution budgétaire, ce, afin d’appuyer la prise en compte de l’approche de la BSDD dans le processus d’élaboration du budget de l’exercice 2025.
Le dialogue politique national sur la BSDD verra la participation des députés de l’Assemblée législative de la transition (ALT) ainsi que les décideurs politiques des ministères et institutions sectoriels impliqués dans la capture du dividende démographique.
-FIN-
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Tahirou Gouro,
Chargé de Communication,
CEA- BSR/AO
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
À propos de la CEA
Créée en 1958 par le Conseil économique et social (ECOSOC) des Nations Unies, la CEA est l'une des cinq commissions régionales de l’Institution et a pour mandat d’appuyer le développement économique et social de ses États membres, d’encourager l'intégration régionale et de promouvoir la coopération internationale pour le développement de l'Afrique.
Composée de 54 États membres, la Commission économique pour l’Afrique (CEA) joue un double rôle en tant qu’organisme régional de l’Organisation des Nations Unies (ONU) et en tant que partie intégrante du paysage institutionnel régional en Afrique.
v
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /htdocs/templates/ts_newslinen/html/com_k2/templates/default/user.php on line 277